L’Association Brasil Azur, animée notamment par sa présidente Filomena Iooss, cherche à faire connaître les cultures brésilienne et française de façon conviviale. Pour ce faire, l’association dispose d’un site Internet consacré aux littératures, musiques, cultures des deux pays.
Après la langue, après les jeux niçois, c’est au tour de la musique d’être mise à l’honneur à l’occasion des conférences hebdomadaires du Département de Langue d’Oc (dont vous trouverez le programme ici). Le conférencier du jour, Monsieur Luc Charles-Dominique, a présenté « les multiples visages des musiques et chants de tradition orale des régions d’Occitanie ».
Chaque jeudi, à 17 h 30, pendant tout le semestre, le Département de Langue d’Oc (Occitan et Nissart) organise un cycle de conférences sur les « cultures vivantes de l’espace occitan », organisé par M. Gasiglia.
La première conférence a porté sur le parler de Tende et ses spécificités. La suivante a concerné la revue Lou Sourgentin. Il a été question, aujourd’hui même, des musiques occitanes et de leurs différents instruments (j’en parlerai dans un prochain billet).
M. Gasiglia m’a aimablement permis de diffuser le programme des conférences qui ont lieu chaque jeudi, de 17 h 30 à 19 h 30, à l’Université Nice Sophia-Antipolis, Campus Carlone, en salle H311 (troisième étage du bâtiment principal). Ces conférences sont libres d’accès et gratuites.
J’ai appris que l’UFR Lettres, Arts et Sciences Humaines organisera une « journée portes ouvertes » à destination des futurs étudiants, le mercredi 11 mars, de 10 h à 18 h. Je me permets de diffuser cette information qui pourrait intéresser certains.
« Maccheroni et Butor, œuvres croisées, à travers le thème de la ville », conférence de Béatrice Bonhomme
C’est dans le cadre d’une exposition de photographies d’Henri Maccheroni, organisée par la Bibliothèque Universitaire, que Béatrice Bonhomme, professeur de littérature française du XXe siècle et poète, a prononcé, jeudi dernier, une conférence s’intéressant au thème de la ville chez l’écrivain Michel Butor et le plasticien Henri Maccheroni.
C’est une conférence à la fois fort instructive et très originale qui a été récemment proposée par le Centre Transdisciplinaire d’Épistémologie de la Littérature, à l’Université Nice Sophia-Antipolis. En effet, Sandrine Montin, maître de conférences à l’initiative de cet événement qui a eu lieu le 9 février 2015, a associé un exposé sur la question du « théâtre comparé » avec une représentation théâtrale peu commune, puisqu’il s’agissait d’un spectacle bilingue français/langue des signes.
Jeudi 5 février 2015, avait lieu la deuxième conférence organisée par le Département de Langue d’Oc de l’Université de Nice. Le conférencier invité était le directeur de la publication du magazine Lou Sourgentin, monsieur Roger ROCCA. Ce périodique bilingue niçois/français paraît cinq fois par an.
S’il est un village des Alpes-Maritimes où les parlers locaux sont bien vivants, c’est peut-être celui de Tende, village montagnard tout proche de la frontière italienne, intégré à la France en 1947. Lors d’une conférence récemment organisée par le Département de Langue d’Oc, Sylvain Casagrande, maître de conférences, a ainsi estimé à « environ une centaine, voire plusieurs centaines », le nombre de locuteurs du tendasque, la langue parlée dans ce village qui compterait, en tout, environ deux mille habitants. Ce n’est pas un dérivé du Nissart mais une langue issue, comme lui, du latin, et qui possède une évolution phonétique propre.