Vivante. C’est l’adjectif par lequel je qualifierais la poésie réunionnaise, au sortir de la conférence que Carpanin Marimoutou, professeur à l’Université de la Réunion, a tenue aujourd’hui dans les locaux du CTEL.
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Vivante. C’est l’adjectif par lequel je qualifierais la poésie réunionnaise, au sortir de la conférence que Carpanin Marimoutou, professeur à l’Université de la Réunion, a tenue aujourd’hui dans les locaux du CTEL.
Lire la suiteNé en 1951, Christian Bobin est décédé en novembre dernier à l’âge de 71 ans. Il laisse une œuvre conséquente, riche d’une soixantaine de romans et essais, et d’une dizaine de recueils poétiques, parus entre 1986 et 2022.
Lire la suiteJe suis tombé aujourd’hui sur un paragraphe que j’avais écrit pour introduire à l’un de mes cours de littérature comparée, quand j’enseignais à la fac. Il m’a semblé intéressant de le soumettre à votre jugement. Qu’en pensez-vous ?
Lire la suiteCe sont deux grandes pointures dans leur domaine. James Sacré et Michel Collot interviendront les 24 et 25 novembre à la faculté des lettres de Nice. Nul doute que s’y tiendront des échanges d’une grande richesse.
Lire la suiteL’œuvre de Joris-Karl Huysmans fait l’objet, depuis longtemps, de nombreuses recherches et d’études critiques. Mais elle demeure aujourd’hui moins connue que celles d’autres romanciers du dix-neuvième siècle tels que Stendhal ou Zola. C’est pourquoi un important colloque international se propose de faire le point sur les Actualités huysmansiennes. Il a débuté aujourd’hui, à Nice, sous la direction d’Alice De Georges et de Marc Smeets.
Lire la suiteMoins enseigné que Balzac, Flaubert, Stendhal ou Zola, Joris-Karl Huysmans est pourtant l’un des plus grands romanciers français du XIXe siècle. Né en 1848, mort en 1907, son œuvre s’épanouit dans la fin du XIXe siècle. Son roman le plus connu, À rebours, a été rendu célèbre par ses considérations sur l’art, portées par le personnage principal, Des Esseintes. Un colloque universitaire sur Huysmans va prochainement se tenir à Nice. Je me permets d’en reproduire le programme.
Lire la suiteDemain, jeudi 10 mars 2022, se tiendra à l’Université de Nice, dans la Salle du Conseil de la Faculté des Lettres, une journée d’études en hommage à Jean Onimus, professeur émérite spécialiste de Charles Péguy.
Lire la suiteC’était un vendredi soir de janvier. À l’heure où le campus Carlone se vide habituellement de ses étudiants, une vive lumière brillait aux fenêtres de l’amphi 75. L’amphi de danse. Sur les gradins, les spectateurs sont venus assister au récital de poésie de Béatrice Bonhomme.
Lire la suiteC’est avec grand plaisir que j’ai participé aujourd’hui à un passionnant colloque inter-universitaire, co-organisé par Béatrice Bonhomme et Aude Préta de Beaufort, sur les poètes-femmes d’aujourd’hui. Je devais, pour ma part, présenter la poésie de Michèle Finck, dont la voix m’a beaucoup séduit, par son authenticité, par sa capacité à transcender la douleur, par son lien constant avec la musique.
Lire la suiteLe centre transditransdisciplinaire d’épistémologie de la littérature de l’université de Nice vient de faire paraître un ouvrage collectif intitulé La poésie comme entretien. Ce recueil, dirigé par Béatrice Bonhomme, Anna Cerbo et Josiane Rieu, constitue les actes de journées d’études menées par les Universités de Nice et de Naples. Je vous en avais déjà parlé dans un précédent article où je résumais les interventions de la journée d’étude à laquelle j’avais participé.
Qui n’a jamais, à la lecture d’un roman, d’un poème ou d’une pièce de théâtre, éprouvé une vive admiration pour l’art d’écrire de son auteur ? Qui ne s’est jamais exclamé, ah, que ceci est parfaitement dit ? Qui n’a jamais été séduit par le style d’un écrivain ? Si nous sentons tous plus ou moins confusément que le style est pour beaucoup dans la qualité que nous accordons à une œuvre littéraire, il est en revanche beaucoup plus difficile de définir cette notion. Aussi avons-nous interrogé un spécialiste de la question : Ilias Yocaris, enseignant-chercheur à l’Université de Nice, a publié en 2016, aux éditions Classiques Garnier, un ouvrage intitulé Style et semiosis littéraire, dans lequel il définit théoriquement la notion de style, avant d’appliquer concrètement cette notion à l’analyse de plusieurs fictions postmodernes.
Les manifestations du Printemps des Poètes continuent ! Lundi 12 mars, la poète Valérie Rouzeau, marraine des journées Poët Poët, dialoguait avec ses auditeurs dans le cadre d’une table ronde organisée dans les locaux du Centre Transdisciplinaire d’Épistémologie de la Littérature et des arts vivants (C.T.E.L.), à l’invitation de Béatrice Bonhomme, Sandrine Montin et Sabine Venaruzzo.
Je vous avais annoncé la tenue d’un séminaire universitaire sur « la poésie comme entretien ». Celui-ci a eu lieu mardi et mercredi derniers, au premier étage de la bibliothèque Henri Bosco, à la faculté des lettres de Nice. Voici un compte-rendu de la deuxième journée de ce colloque, la seule à laquelle j’ai pu participer.
La poésie épique est souvent dite éculée, dépassée. Elle valait, entend-on, au temps des chevaliers, mais aujourd’hui, ces poèmes si longs ne nous conviendraient guère. Patrick Quillier, professeur à l’Université de Nice, a démontré le contraire. Le XXe siècle a produit de très beaux poèmes épiques. Exemples et illustration.
Je participerai prochainement à un séminaire de recherches, co-organisé par les universités de Nice et de Naples, qui se tiendra les mardi 7 et mercredi 8 novembre 2018 à la Bibliothèque Universitaire Henri Bosco de la Faculté de Lettres de Nice. Il concernera « la poésie comme entretien ». En voici le programme.
Les écrivains et les écrivaines sont des hommes et des femmes comme tout le monde. Comme tout le monde, vraiment ? Pourtant, lorsqu’ils accèdent à la gloire, leur personne s’enveloppe d’une aura de mythe. Mêlant vérité biographique et fantasmatique collective, l’écrivain devient un véritable personnage. Romanciers et cinéastes content alors parfois leur légende. J’ai eu l’occasion de m’intéresser à la question du mythe de l’écrivain grâce aux très intéressants cours de M. Paul Léon, enseignant à l’Université de Nice.
Projecteurs surpuissants, rideaux électriques, microphones, haut-parleurs, décors… Le théâtre d’aujourd’hui bénéficie de moyens techniques importants. Aussi importe-t-il, lorsqu’on songe à des pièces plus anciennes comme celles de Molière ou de Racine, de se souvenir que, lorsqu’elles ont été jouées pour la première fois, au XVIIe siècle, ce n’était pas vraiment dans les conditions d’aujourd’hui. Alors, le théâtre, avant, c’était comment ?
C’était dans le cadre du Printemps des Poètes 2017, et plus particulièrement des « Journées Poët Poët » organisées par la compagnie « Une petite voix m’a dit », que le poète Jean-Pierre Verheggen était l’invité de l’Université de Nice, ce vendredi 3 mars 2017.
Je me permets de relayer cette information : Béatrice Bonhomme, poète et professeur de littérature française à l’Université de Nice, interviendra le mardi 14 mars 2017 au sujet de la poésie de James Sacré, dans une conférence intitulée « James Sacré : des gestes et des mots », dans le cadre du séminaire « Articuler danse et poésie » actuellement en cours au sein du Centre Transdisciplinaire d’Épistémologie de la Littérature et des Arts Vivants (CTEL) de l’Université de Nice.
L’Université de Nice organisera prochainement une journée d’études consacrée à la poésie à l’école. Dirigée par Jessica Choukroun-Schenowitz et Christian Jacomino, elle aura lieu vendredi 13 mai 2016 après-midi, de 14 h à 17 h 45.