« Si tu crois qu’aux enfants seuls siéent les songes je te dirai ce retour d’images brèves qui font d’une vie une éternelle saison qui nous frôle et n’en finit pas d’interroger les forêtsOn lâche seulement sur le tard des mots neufs enfermés comme des copeaux légers dans des larmes avides d’épaules »
Barbara Auzou.
Ce beau poème, intitulé « Prolégomènes IV », se lit (presque) d’un seul souffle. Il est à lire sur le blog de Barbara Auzou, dont le titre très durassien est Lire, dit-elle. Allez-y voir !
Un jour à lâcher des mots neufs avec tous leurs oiseaux…
Merci à vous Gabriel…
J’aimeAimé par 1 personne