J’ai lu ce petit livre (51 pages) d’une traite ce matin, et c’est l’une de ces lectures qui ne laissent pas indemne. Il fallait un poème pour dire le tsunami de Fukushima, et c’est paradoxalement une poète française, qui ne de trouvait pas même sur les lieux au moment de la catastrophe, qui l’a écrit.
Lire la suite