Quand on dort mal, notre cerveau gamberge. Il y a quelques nuits, la réflexion qui va suivre m’est passée par la tête. Je l’ai mise en forme, mais ce n’est jamais qu’un premier jet, une réflexion sur le vif. Aussi, je vous invite à la lire, afin que vous m’aidiez à en trouver les failles et les limites. Vous pouvez réagir dans l’espace des commentaires.
