La vallée de l’Estéron resplendit malgré un soleil timide quand la joyeuse troupe se forme à nouveau sous les Halles d’Aiglun. La deuxième journée des « rencontres de paroles » commence…
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La vallée de l’Estéron resplendit malgré un soleil timide quand la joyeuse troupe se forme à nouveau sous les Halles d’Aiglun. La deuxième journée des « rencontres de paroles » commence…
Lire la suiteEn montant à Aiglun ce matin, j’espérais faire de belles rencontres poétiques et humaines. Je n’ai pas été déçu ! Compte-rendu de la journée du vendredi 26 août 2022, première journée d’un festival qui se terminera dimanche.
Lire la suiteEmmanuel Godo, poète, professeur de lettres en classes préparatoires au lycée Henri IV, était invité, dimanche 31 août, à présenter son univers poétique, au village d’Aiglun, sur l’invitation de Patrick Quillier, lui-même poète, professeur émérite et membre du conseil municipal. Nous avons assisté à un très beau moment de poésie, marqué par l’aisance lumineuse et sincère d’Emmanuel Godo.
Lire la suiteLe week-end prochain, Clans, paisible village de l’arrière-pays niçois, dans la vallée de la Tinée, s’animera à l’occasion de Journées Littéraires dont le thème est cette année « ÉrotismeS ». L’occasion de rencontrer artistes et poètes, d’assister à des lectures, performances, expositions, projections, spectacles, et même de participer soi-même si le cœur vous en dit, puisque les festivités se termineront avec un tournoi ouvert à tous et toutes. Ces Journées sont organisées par Pascal Giovannetti et l’association Le Zampi, avec le soutien de la mairie de Clans. Je me permets de relayer le programme.
Lire la suiteDemain, jeudi 10 mars 2022, se tiendra à l’Université de Nice, dans la Salle du Conseil de la Faculté des Lettres, une journée d’études en hommage à Jean Onimus, professeur émérite spécialiste de Charles Péguy.
Lire la suiteAvoir un ami imaginaire, ce n’est pas si rare chez les enfants, et cela peut être un moyen de se préserver. Prolonger cette expérience à l’âge adulte jusqu’à l’ériger en principe d’écriture, c’est en revanche beaucoup moins banal, et c’est ce qui fait toute l’originalité de la poésie de Fernando Pessoa.
Lire la suiteCes derniers jours, la poésie était à l’honneur à Aiglun, paisible village de la vallée de l’Estéron, perché sur un promontoire surplombant la rivière et sa belle clue. Au terme d’une route étroite et sinueuse, on arrive en vue de ce village typique de l’arrière-pays grassois. C’était au-dessus de la place centrale, à proximité du lavoir et sous l’ombre rafraîchissante d’un tilleul, que les poètes s’étaient donné rendez-vous, sur l’invitation de Patrick Quillier, poète et professeur à l’Université de Nice, dans le cadre des « Rencontres poétiques d’Aiglun », co-organisées par la mairie et par l’association « Aigo Luno ».
Lire la suiteC’est à Aiglun, dans la vallée de l’Estéron, que se tiendront prochainement des « Rencontres de paroles ». Ce village de l’arrière-pays grassois réunira ainsi de nombreux poètes et amoureux de la poésie, qui partageront leurs voix et leurs mots, dans le souvenir aussi de poètes récemment disparus, en particulier Tristan Cabral. Cet événement, co-organisé par la mairie du village et par l’association « Aigo Luno », sous la houlette de Patrick Quillier, poète et professeur à l’Université de Nice, entend montrer que « la poésie n’est jamais confinée ». Je serai moi-même présent lors de la première de ces trois journées.
Lire la suiteSans nul doute, Boris Gamaleya n’est pas un poète très connu. Pourtant, pour le professeur Patrick Quillier, il s’agit d’une voix majeure de la poésie d’aujourd’hui. Né en 1930 à La Réunion, il vient tout juste de décéder. Je voudrais modestement contribuer à mieux faire connaître sa poésie. Je me suis donc renseigné auprès de Patrick Quillier qui a très gentiment accepté de me fournir la documentation nécessaire à la rédaction de cet article. Qu’il en soit ici chaleureusement remercié.
Lire la suiteC’était ce vendredi 22 mars, à 19 h, au Centre culturel écomusée de La Gaude. Une fois de plus, comme chaque année, on avait rendez-vous avec la poésie. Le temps d’une soirée, on se laisse surprendre par la magie du spectacle vivant. Arts plastiques, musique, chant, mime, improvisation théâtrale sont venus rendre hommage à la poésie. Cette année, les poètes invités étaient Charles Pennequin, poète-performeur français, ainsi que César Anguiano Silva et Jorge Vargas, poètes mexicains traduits par Patrick Quillier.
Il n’aura échappé à personne que nous avons commémoré cette semaine le centenaire de l’armistice de 1918. Il y a cent ans, en effet, prenait fin une guerre d’un caractère inédit, par sa durée, par son ampleur, par son nombre de morts, par son caractère particulièrement inhumain. Elle a laissé de nombreuses cicatrices dans l’âme de l’humanité, dont certaines, cent ans après, sont encore bien visibles. Pour porter cette mémoire dans notre vingt-et-unième siècle, il fallait un poème. Et Patrick Quillier l’a composé.
En ce temps là la guerre était en terre
l'europe dilacérée labourait
ses plaines pour planter des boisseaux d'hommes
malheureux tous ces morts tels des épis
cueillis trop verts malheureux tous ces morts
aux moissons innommables de l'histoire
malheureux tous ces morts pour six arpents
de terre malheureux tous ces morts pour
satisfaire morgue et cupidité
Patrick Quillier, Voix éclatées (de 14 à 18), Gardonne, éditions Fédérop, 2018, p. 13.
Nous fêtons cette année le cinquantenaire de « Mai 1968 ». Que reste-t-il, aujourd’hui, de cet épisode de grèves et de manifestations ? Que retenir de Mai 1968 ? Historiens, philosophes, politologues, journalistes ont déjà répondu à la question. Aujourd’hui, je vous propose de découvrir un poème de Patrick Quillier qui se penche sur cette mémoire en célébrant les figures de Tristan Cabral et Jan Palach.
Poète portugais de renommée mondiale, Fernando Pessoa fait partie de ces auteurs dont on parle beaucoup à l’Université, mais que je n’ai pas encore lus. Or, Patrick Quillier, professeur à l’Université de Nice, traducteur de l’œuvre complète de Pessoa en « Pléiade », vient de publier, aux éditions Chandeigne, une Anthologie essentielle de l’œuvre du poète. À cette occasion, il intervenait sur les ondes de France Culture pour retracer le parcours du grand poète portugais. Voici ce que j’en ai retenu.
Hier soir, des clameurs inhabituelles ont résonné dans l’enceinte de l’éco-musée de La Gaude. À l’heure où, d’ordinaire, ce beau bâtiment orné d’une coupole de verre est plongé dans la nuit, toutes les pièces de ce centre-culturel étaient éclairées d’ardentes lueurs. Et pour cause ! La poésie s’était en effet invitée pour la soirée. Pour célébrer comme il se doit le printemps des poètes.
Patrick Quillier, poète, professeur de Littérature comparée à l’Université de Nice, a récemment publié sur Facebook une « Litanie pour les morts du Bataclan ». Difficile de parler d’un tel sujet, si douloureux, encore à la mémoire de tous. Le poète livre pourtant un poème sublime, d’une très grande sincérité. C’est un magnifique hommage aux victimes des attentats : digne et sobre, élégant et pudique, solennel et chaleureux à la fois. Impossible de ne pas vous en parler.
Il était Grec mais vivait en Égypte, et c’est pourquoi ces deux pays se sont récemment unis pour organiser un colloque sur son œuvre, qui a eu lieu du 15 au 17 octobre 2017 au Caire et à Alexandrie. Si je vous en parle, c’est d’abord pour vous présenter Constantin Cavafy, et c’est ensuite pour signaler l’existence de ce colloque qui a réuni les deux rives de la Méditerranée pour lui rendre hommage.
La poésie épique est souvent dite éculée, dépassée. Elle valait, entend-on, au temps des chevaliers, mais aujourd’hui, ces poèmes si longs ne nous conviendraient guère. Patrick Quillier, professeur à l’Université de Nice, a démontré le contraire. Le XXe siècle a produit de très beaux poèmes épiques. Exemples et illustration.