Disons-le tout net : je ne connais presque rien de la poésie de Marcelin Pleynet. Je n’ai lu de lui qu’un seul livre, Premières poésies (Cadex éditions, Montpellier, 1987). Pourquoi alors un article sur ce poète ? Parce que j’ai à cœur de présenter progressivement les différentes facettes de la poésie française contemporaine, et que je n’ai pour l’instant que très peu parlé de la poésie, disons, « textualiste ». Parce que, en parcourant les rayonnages de la bibliothèque municipale, j’ai été attiré par ce nom, revenu plusieurs fois dans mes lectures. D’où le titre très humble de cet article : je vous livre ici des impressions de lecture, avec tout ce que cela implique de subjectif.
