Balzac n’a pas forcément bonne réputation chez les ados, qui gardent surtout le souvenir de ses longues descriptions. Moi-même, j’ai sans doute découvert Balzac un peu trop tôt, avec Eugénie Grandet d’abord, puis Le Père Goriot, à l’âge de treize ans. Je me souviens avoir bien aimé le premier, mais avoir eu du mal avec le second.
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