Si le théâtre de Jean Genet est aujourd’hui pleinement admis dans le panthéon des grandes œuvres littéraires du XXe siècle, il a d’abord conservé une aura sulfureuse qui explique qu’il soit probablement moins enseigné dans le secondaire qu’un Beckett ou un Ionesco. C’est pourtant un théâtre qui vaut le détour. Je voudrais vous présenter aujourd’hui deux pièces, Les Bonnes et Le Balcon.
