« Hoc ante omnia fac, mi Lucili :
disce gaudere. »
« Fais ceci avant tout, cher Lucilius :
apprends à te réjouir. »
Sénèque, Ad Lucilium (Lettres à Lucilius), III, 23, 3 à 5.
« Hoc ante omnia fac, mi Lucili :
disce gaudere. »
« Fais ceci avant tout, cher Lucilius :
apprends à te réjouir. »
Sénèque, Ad Lucilium (Lettres à Lucilius), III, 23, 3 à 5.
On trouve vraiment de tout sur YouTube. Le meilleur comme le pire, sans doute. Mais il y a plein de contenus intéressants à découvrir. Je voudrais aujourd’hui vous parler des langues anciennes, mises à notre portée par des youtubeurs passionnés. Petit aperçu.
Lire la suiteVous voulez mettre un peu d’originalité dans vos envois de vœux de bonne année ? Et si vous les rédigiez en latin ? C’est la proposition du site « Arrête ton char », consacré aux langues et cultures de l’Antiquité. Pour l’occasion, le site a exhumé d’authentiques vœux envoyés sur tablette d’argile.
► C’est à lire ici : https://www.arretetonchar.fr/quelques-formules-de-voeux-en-latin-et-en-grec/
C’est bien connu, l’essentiel du vocabulaire français vient du latin. Mais tandis que certains mots sont directement issus du latin, lentement transformés par des déformations successives, d’autres ont été empruntés plus tardivement au latin et ressemblent davantage à l’étymon. Or, parfois, les deux voies ont été utilisées par un même mot latin, aboutissant ainsi à deux mots français. Quelques exemples de doublets lexicaux…
Plusieurs grammairiens actuels contestent la notion de proposition infinitive dans la langue française. Pourtant, la tradition grammaticale utilise depuis très longtemps ce concept, hérité du latin. Alors, où se trouve exactement le problème ?
C’est une règle que nous avons apprise très tôt : la plupart des substantifs forment leur pluriel en y adjoignant un « s ». Une marque la plus souvent muette à l’oral, ce qui explique la facilité avec laquelle on peut oublier de l’écrire. Mais d’où vient cet « s » ?
Connaissez-vous le blog Un dimanche indo-européen ? Mêlant humour et érudition, son auteur, Frédéric Blondieau, propose à ses lecteurs, au rythme d’une publication par semaine, de découvrir cette langue ancienne qu’est l’indo-européen.
Lire la suiteLes moines copistes étaient bien plus facétieux qu’on ne l’imagine… La preuve avec cette « énigme gothique » proposée par le blog Textualités.
L’écriture gothique, qui a particulièrement sévi entre le XIe et le XVIe siècle, a sans doute des qualités esthétiques, mais le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle n’est pas facile à lire ! De ce constat très simple est né un petit jeu d’écriture de moines copistes, une énigme à destination de leurs lecteurs…
Voir l’article original 160 mots de plus
C’est une erreur assez fréquente : il n’y a pas de « pieds » dans la poésie française !
Le français, une langue difficile ? Allons donc ! Elle n’est pas composée de milliers d’idéogrammes comme le chinois, elle ne comporte pas de déclinaisons comme le latin ou l’allemand.