Si, par une nuit d’août, en un lieu quelque peu épargné de la pollution lumineuse, vous levez les yeux vers le ciel, vous ne manquerez pas d’observer quelques étoiles filantes. Ces petits cailloux, parfois de quelques grammes seulement, deviennent incandescents en pénétrant dans l’atmosphère terrestre, laissant dans le ciel de belles traînées lumineuses. Ce phénomène céleste à inspiré à Victor Hugo un beau poème, dont voici la première partie.
