Il suffit de quatre mots pour nous entraîner dans un monde merveilleux, un monde de fées et de lutins, de princes et de princesses, de sorcières et de magiciens. Quel plaisir d’entendre prononcer ces quatre mots qui, à eux seuls, nous font basculer dans l’univers du conte, dans cet in illo tempore que connaissait déjà le latin. Mais cette expression pose problème à l’apprenti grammairien, lorsqu’il s’agit de décortiquer ces phrases.
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