Un poème d’Emanuela Rizzo

L'hiver, lentement, nous saluait
avec un soleil comme venu d'une autre saison.
Comme il était clair, le soir,
quand retombait le rideau.
Et combien surréel,
ce bleu !
J'avais trouvé
la paix
dans un tableau
de Chagall.

L’inverno lentamente ci salutava
con un sole d’altre stagioni.
Com’era nitida la sera
che calava il sipario.
Così surreale
quel blu.
Io avevo trovato
la mia quiete
in un quadro
di Chagall.

Emanuela Rizzo

Traduction française par Gabriel Grossi

Traduzione in francese a cura di Gabriel Grossi

2 commentaires sur « Un poème d’Emanuela Rizzo »

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