En ce moment, je trie mes anciens poèmes et j’en écris de nouveaux, dans l’espoir de former un recueil qui tienne la route. Celui qui va suivre ne me satisfait que partiellement. J’en aime l’intention, la simplicité, la candeur. J’avais envie de montrer qu’on n’a pas besoin d’être « tourmenté » pour écrire un bon poème. Malgré tout, je le trouve un peu simpliste et fade.
J’ai trouvé amusant de le soumettre à votre jugement. Bien sûr, faisant cela, je m’expose à la critique. La plupart des poètes ne dévoilent que les poèmes dont ils sont pleinement satisfaits. Or, comme je vous l’ai dit, celui-ci ne me convainc pas totalement. Il a été écrit en janvier 2008, j’avais donc un peu moins de vingt-et-un ans.
Je vous invite donc à commenter pour dire si ce poème trouve ou non grâce à vos yeux. Après tout, les blogs permettent à la communication d’aller dans les deux sens, de moi à vous mais aussi de vous à moi, alors autant s’en servir ! J’espère que vous trouverez cette possibilité amusante.


Huuuuuuuuuuuum, le mot « celles » est très présent à tel point qu’on ne sait plus à quel saint se vouer… Je n’aurais qu’un mot ÉLAGUER.
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C’est une figure de style.
J’aime beaucoup ce poème au contraire, touchant par sa simplicité.
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J’aime beaucoup d’autant qu’il entre en résonance, pour moi, avec un recueil de poésie de Jean-Pierre Siméon « Une théorie de l’amour » dont je viens de découvrir l’existence et commenter sur le blog la bouche à oreilles…
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Un très beau recueil en effet… Cela fait partie de ma liste de projets que de parler de la poésie et des essais de Siméon.
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Ce poème ne me transporte pas. j’en apprécie la petite musique bienveillante et cette simplicité de style mais je suis sans doute marqué par son coté trop didactique, trop « parlant », trop donneur de sens. Les mots doivent sortir de leur contexte rationnel et évoquer autre chose…..mais je ne suis pas un spécialiste de la lecture poétique, je ne vous donne pas un avis mais mon ressenti. Cordialement.
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Oui, exactement, vous dites très bien ce qui me gêne désormais dans ce poème écrit il y a longtemps. Vous avez touché juste. Merci.
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