Je vous propose aujourd’hui de découvrir un poème que j’avais écrit en 2008, autant dire il y a une éternité. Il propose un petit cocon de bien-être au milieu de la tempête…
Alors chancelle la terre Un éclair soudain Et que vacille le monde Tout ce que peut le fracas En une seconde Et on se met à l’abri On s’enveloppe de draps De soie, de satin Et on se met à sourire On attend là sans doute Après la tempête Que le monde se veloute Et sur le tas de gravats De laves brûlantes On aurait fait quelques pas Quand chancelle la terre Et gronde le monde Et mugit la mer hurlante
mercredi 26 novembre 2008
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Merci pour ce sympathique poème.
Néanmoins, à la lecture à haute voix, le « Et on » est désagréable et abîme la magie poétique
Yves Renaud
Prix Arthur Rimbaud 2021
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Exact, merci beaucoup pour votre commentaire et pour votre intérêt !
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