J’ai eu le plaisir de recevoir aujourd’hui, dans ma boîte aux lettres, le cent quatre-vingt-deuzième numéro de la revue poétique Florilège, dont je souhaiterais vous entretenir aujourd’hui.
Un numéro joliment illustré
Ce numéro est agrémenté de très belles reproductions des toiles de la peintre Albena Vatcheva. Ce sont elles que l’on remarque en premier lieu, avant même d’avoir parcouru le numéro. Ces illustrations vivement colorées font du bien dans cette assez triste période. Ces représentations du corps féminin, tout en rondeurs, qui se détachent en blanc sur ces fonds lumineux, ont quelque chose de léger et d’aérien.
La poésie amérindienne
Parmi l’ensemble des chroniques, comptes-rendus et poèmes publiés dans ce numéro, j’ai particulièrement apprécié un article sur la poésie amérindienne, qui donne à lire des poèmes de différentes aires culturelles. L’article, rédigé par Florent Boucharel, rend compte d’une anthologie en langue espagnole compilée par Ernesto Cardenal. Chili, Panama, Mexique, Groenland, Argentine, Canada, États-Unis… Les textes proviennent de l’ensemble du continent. La traduction de Florent Boucharel permet d’apprécier ces textes.
Un autre article intéressant, signé « Paul Émique », s’intéresse au trouble bipolaire dans ses liens avec la création poétique.
Enfin, comme à l’accoutumée, le numéro présente un grand nombre de poèmes et de comptes-rendus de lecture, pour atteindre 56 pages qui donnent de quoi lire et rêver.
POUR EN SAVOIR PLUS
La revue Florilège a été fondée en 1974 par l’association « Les Poètes de l’Amitié – Poètes sans frontières », présidée par Stephen Blanchard, à Dijon. L’association possède un site Internet : http://poetesdelamitie.blog4ever.com/ et la rédaction a un courrier électronique : aeropageblanchard@gmail.com.

La revue Florilège, et notamment le numéro 182, conjugue toutes les formes que l’Art peut nous permettre de découvrir dans une revue littéraire de grande qualité. La couverture « Mélodie bleue » d’Albena Vatcheva nous transporte là où l’imaginaire a toute sa place.
Les poèmes de style très différents et les rubriques qui incitent à la réflexion sont autant de raisons de lire et relire chaque numéro…
Belle et longue vie à ce beau moment de culture et de partage !
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Ciudad Seva – une institution prestigieuse ! raffinement, politesse, cooperation entre les auterus contemporains – de langue espanole !
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Une voix claire, de grande distinction, decoupant mot apre mot, concept apres concept moral – un discous/ qui s adresse a la conscience de la nouvelle generation abime dans la haine et la violence…
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