« Rien n’est plus paisible que des ruines. Il y règne des rongeurs, des serpents, des hiboux. Au cœur de ce tissu d’odeurs et de présences assemblées, l’homme transporte sa prison. — Mastique, avec le sourire ! »
Pierre Perrin-Chassagne, « Les ruines »,
dans La Porte et autres poèmes,
Editions Possibles, 2018, p. 76.