« À cause de la joie qui me vient de ses yeux j’ai grande peine et tendresse aussi d’aller parmi la solitude
Fleuves nuages rutabagas les visages passent le temps poudroie
Grâce au songe de lui je ne suis plus quand je suis seule seule dans la rue […] »
Valérie Rouzeau, Va où,
Le temps qu’il fait, 2002, p. 120.