Les Dictateurs Il est resté une odeur dans les plantations : un amalgame de sang et de corps, un pétale nauséabond et pénétrant. Parmi les cocotiers les tombes sont remplies de squelettes brisés, de râles silencieux. Le délicat satrape converse avec des coupes, des cols, des cordons dorés. Le petit palais luit comme une horloge et […]
► à découvrir ici : Pablo Neruda, Je ne prononce pas en vain ton nom, ô Amérique — Écri’turbulente
Merci pour ce partage !
Bonne journée
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Pas de quoi !
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A reblogué ceci sur Alessandria today.
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Merci !
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