Les moines copistes étaient bien plus facétieux qu’on ne l’imagine… La preuve avec cette « énigme gothique » proposée par le blog Textualités.
L’écriture gothique, qui a particulièrement sévi entre le XIe et le XVIe siècle, a sans doute des qualités esthétiques, mais le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle n’est pas facile à lire ! De ce constat très simple est né un petit jeu d’écriture de moines copistes, une énigme à destination de leurs lecteurs…
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Ils veulent (volunt) ou ne veulent pas (nolunt) un minimum, mais pour le reste il va me falloir un petit certains nombre d’heures à me casser les yeux dessus 🙂
Mais ça va le faire !
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Bon courage, camarade !
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Bon alors, j’ai décrypté la dernière ligne, qui dit : vivi minimum volunt… Et google a fait le reste 🙂
Mimi numinum nivium minimi munium nimium vini muniminum imminui vivi minimum volunt
Qui veut dire que…
Mimi minimi, les petits mimes
numinum nivium, des divinités de la neige
minimum volunt, ne veulent pas trop
vini, quelque chose ayant trait au vin,
MAIS C’EST PAS CATHOLIQUE DU TOUT ET COMPLETEMENT IMBITABLE 😎
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La phrase en elle-même ne veut pas dire grand-chose. C’est surtout un « private joke » de moines copistes qui s’amusent à choisir des mots qui contiennent précisément des lettres qui, en alphabet gothique, sont difficiles à discerner. Voir la traduction sur le blog « Textualités » (suivre le lien).
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