« J’aime que le papillon de nuit fasse preuve d’un souverain mépris à l’égard de nos occupations savantes et choisisse de vivre à l’heure frileuse où les hommes ronflent sur le dos pour la plus grande joie des étoiles moqueuses et de la mort. »

Jean-Michel Maulpoix, La Parole est fragile,
Manier-Mellinette, Imprimerie de Cheyne, Le Chambon sur Lignon, 1981, III-1, p. 27.

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